• USA Campaign 2008 - La course à la Maison Blanche est aussi une course aux Dollars

    Chacun sait que plus le pays est grand, plus cela coûte cher car les besoins en déplacements, communications, transports, bureaux, personnels, spots de télé, tracts, internet; bref tout est bon pour convaincre, tout sera utile pour vaincre. En conséquence le besoin en financement est une étape obligée pour tout candidat qui se respecte et qui désire avoir une chance de pousser les portes de la White House à Washington. Chère, la campagne 2008 le sera sans aucun doute car la levée des fonds est très importante en cette fin d'année 2007. En comparant la levée des fonds de chaque candidat à l'investiture on s'aperçoit très vite que les favoris sont ceux qui ont récoltés le plus d'argent (voir graphique ci-dessous). Nico

     

    Montants au 6/12/07

    Le financement en quelques clefs

    [Tout candidat à la présidence doit recueillir au moins 5.000 dollars dans 20 États distincts pour pouvoir prétendre à une aide financière de l'État fédéral. En outre, il doit s'engager à consacrer cette aide uniquement à des dépenses liées à sa campagne électorale, à limiter ses dépenses conformément aux plafonds fixés par la loi sur le financement des campagnes électorales, à consigner tout par écrit, à coopérer lors des vérifications de comptes et à régler toute amende imposée par la FEC* (*commission électorale)

    Pendant la période des élections primaires, les candidats peuvent recevoir une aide égale aux 250 premiers dollars de chaque contribution individuelle qu'ils reçoivent. Le montant total de l'aide publique ne peut pas être supérieur à la moitié de la limite nationale fixée pour les dépenses au titre des élections primaires. Cette limite est modifiée lors de chaque élection présidentielle pour tenir compte de l'inflation. En 2004, elle a atteint 37,3 millions de dollars.

    Pour l'élection de 2008, les contributions individuelles à un candidat à la présidence sont plafonnées à 4.600 dollars (2.300 dollars pour les primaires et 2.300 dollars pour l'élection générale). En outre, les comités des campagnes électorales doivent indiquer le nom de toute personne dont la contribution est supérieure à 200 dollars.

    Un candidat qui reçoit l'investiture de son parti pour l'élection présidentielle peut obtenir une aide destinée à couvrir tous les frais de sa campagne après les primaires. En 2004, cette aide s'est élevée à 74,6 millions de dollars. Le candidat qui accepte une telle aide doit s'engager à ne pas solliciter des contributions auprès du public et limiter les frais de sa campagne au montant de l'aide publique reçue. Cette aide est facultative : un candidat peut y renoncer s'il veut continuer de solliciter des contributions auprès du public dans l'espoir d'obtenir plus d'argent pour financer des activités telles que des spots publicitaires à la télévision.

    (source: http://usinfo.state.gov/francais/ )


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  • Biographie de Barack Obama, Etoile montante du parti démocrate, candidat à l'investiture démocrate pour 2008

    Après les biographies d'Hillary Clinton (D) et Rudy Giuliani (R) tous deux candidats à l'investiture pour la présidentielle de 2008, je vous propose cette semaine celle de Barack Obama, étoile montante du parti démocrate et sérieux rival de Mme Clinton et actuellement en tête pour le caucus du 3 janvier 2008 dans l'Iowa selon les dernières intentions de vote. Pourra-t-il surpasser Mme Clinton? a-t-il la stature présidentielle? Grande question, on essaiera d'y répondre au fil des prochaines semaines.

    Barack Hussein Obama (né le 4 août 1961 à Honolulu, Hawaii) est un homme politique américain, membre du parti démocrate et Sénateur de l'Illinois au Congrès des États-Unis depuis 2005.

    Le 10 février 2007, il a officiellement déclaré sa candidature à l'investiture démocrate pour l'élection présidentielle américaine de 2008[1].

    Barack Hussein Obama est né le 4 août 1961 à Honolulu, Hawaii. Ses parents sont alors de jeunes étudiants. Son père, économiste et athée, est un Kenyan, de l'ethnie luo alors que sa mère est une descendante de Jefferson Davis, le président des États Confédérés d'Amérique. Elle est également d'ascendance cherokee. Selon les affirmations de Lynne Cheney à la télévision le 17 octobre 2007, Barack Obama aurait une ancêtre commune, une Française, (à la 8e génération) avec le vice-président Dick Cheney. « Barack » signifie « béni » en arabe et swahili.

    Ses parents divorcent alors qu'il n'a que deux ans. Son père repart au Kenya et ne reverra qu'une seule fois son fils alors âgé de 10 ans avant de mourir en 1982. Sa mère se remarie avec un étudiant originaire d'Indonésie et la famille emménage à Djakarta où Maya, la demi-sœur de Barack Obama, naîtra. Barack vivra 4 ans, de 1967 à 1971 en Indonésie.

    À l'âge de 10 ans, Obama revient à Hawaii vivre chez ses grands-parents, un couple modeste, pour s'assurer une meilleure scolarité qu'en Indonésie. Plus tard, sa mère le rejoindra. Il est d'ailleurs scolarisé à l'école Punahou, un prestigieux lycée où fut inscrit autrefois la famille royale d'Hawaii.

    Obama racontera cette enfance dans son auto-biographie « Rêves d'un père », celle d'une adolescence torturée, enfant à la peau noire dans un monde de blancs, en quête de ce père mythique, économiste brillant mais qui finit sa vie alcoolique et se tue dans un accident de voiture.

    Après le lycée, Obama étudie deux ans au Collège occidental de Californie avant d'entrer à l'Université Columbia de New York. Il en sort diplômé en science politique et en relations internationales.

    Il commence une carrière professionnelle dans les finances, s'installe à Chicago et se convertit au christianisme. Il choisit alors de travailler comme animateur social dans les quartiers noirs pauvres.

    Il quitte Chicago pendant trois ans pour étudier le droit à Harvard de laquelle il sera diplômé avec les félicitations. Il deviendra plus tard le premier éditeur en chef noir de la prestigieuse Harvard Law Review, son premier fait d'armes. Au lieu de choisir d'intégrer un grand cabinet d'avocats comme la plupart des diplômés, il choisit de défendre les victimes des discriminations raciales et va acquérir une situation privilégiée dans un cabinet juridique spécialisé dans les droits civiques. Jusqu'en 2005, il est aussi conférencier en droit constitutionnel à l'Université de Chicago.En 1992, il épouse Michelle Robinson, une juriste native de Chicago qu'il a rencontrée en 1989 dans le cabinet d'avocat où il travaille et où elle est avocate associée. Ils auront 2 filles, Malia Ann (née en 1999) et Natasha (née en 2002).Cette même année 92, il milite activement pour faire élire Bill Clinton à la présidence des États-Unis et Carol Moseley-Braun au Sénat

    En 1996, Obama est élu au Sénat de l'État de l'Illinois dans la circonscription des banlieues sud de Hyde Park à Chicago. Il préside la commission de santé publique quand les démocrates reprennent la majorité au sénat local.Barack Obama est alors catalogué comme un élu libéral (progressiste au sens américain) voire gauchiste. Il soutient les législations en faveur de l'extension de la couverture médicale aux plus démunis, se fait le défenseur de la cause des gays et des lesbiennes et fait augmenter les fonds destinés à la lutte contre le SIDA.

    En 2000, il tente de se faire désigner aux primaires démocrates pour être candidat à la Chambre des Représentants des États-Unis mais il est balayé avec 30 % des voix contre 61 % à Bobby Rush, le titulaire démocrate sortant.Barack Obama reste donc au Sénat de l'État où il fait voter une réforme qualifiée de progressiste sur l'application de la peine de mort dans l'Illinois.

    En juillet 2004, il se fait remarquer en prononçant un des discours clés de la Convention démocrate à Boston désignant John Kerry comme candidat du parti à l'élection présidentielle. Il y fait l'apologie du rêve américain, de l'Amérique généreuse en les reliant à ses origines familiales. Il en appelle à l'unité de tous les Américains et dénonce les "errements" et l'"extrémisme" diviseur de l'administration de George W. Bush.

    Le 2 novembre 2004, après avoir balayé quelques mois plus tôt ses adversaires démocrates lors des primaires, Barack Obama est élu au Sénat des États-Unis avec 70 % des voix contre 27 % à son adversaire républicain, l'ancien ambassadeur et chroniqueur politique conservateur afro-américain Alan Keyes. Le score ne fut pas une surprise car pendant plusieurs mois, Obama avait fait une grande partie de sa campagne électorale sans aucun opposant désigné contre lui à la suite du retrait en dernière minute de Jack Ryan, le candidat républicain vainqueur des primaires, englué dans une affaire scabreuse avec son ex-épouse. Ce n'est que deux mois avant l'élection, que Alan Keyes fut désigné comme candidat républicain en dépit du fait qu'il résidait au Maryland, n'avait aucun lien avec l'Illinois et qu'en 2000, il avait dénoncé le parachutage d'Hillary Clinton à New York.Obama succède alors au sénateur républicain sortant Peter Fitzgerald.

    En décembre 2004, Obama passe un contrat de 1,9 million de dollars avec une grande maison d'édition pour écrire trois livres dont l'un concernera ses convictions politiques et le second, co-écrit avec son épouse, serait destiné aux enfants.Obama a prêté serment comme sénateur le 5 janvier 2005 devenant le seul afro-américain à siéger au Sénat, et le cinquième de l'histoire.Très populaire au sein de son parti et de plus en plus auprès des américains[2], le 16 janvier 2007 il déclare officiellement être candidat à l'élection présidentielle de 2008, et ce malgré son inexpérience relative, et la concurrence dans le camp démocrate d'Hillary Clinton, jusque là favorite pour les primaires. Il pourrait par contre être un candidat démocrate de choix pour la vice-présidence.Le mardi 16 janvier 2007, il annonce la création d'un comité exploratoire, en vue de lever des fonds pour une candidature aux élections présidentielles de 2008. C'est le premier homme politique américain noir à avoir une chance sérieuse d'accéder à la présidence des États-Unis.

    En anglais:

    Barack Obama was born in Hawaii on August 4th, 1961. His father, Barack Obama Sr., was born and raised in a small village in Kenya, where he grew up herding goats with his own father, who was a domestic servant to the British.

    Barack's mother, Ann Dunham, grew up in small-town Kansas. Her father worked on oil rigs during the Depression, and then signed up for World War II after Pearl Harbor, where he marched across Europe in Patton's army. Her mother went to work on a bomber assembly line, and after the war, they studied on the G.I. Bill, bought a house through the Federal Housing Program, and moved west to Hawaii.

    It was there, at the University of Hawaii, where Barack's parents met. His mother was a student there, and his father had won a scholarship that allowed him to leave Kenya and pursue his dreams in America.

     

    Barack's father eventually returned to Kenya, and Barack grew up with his mother in Hawaii, and for a few years in Indonesia. Later, he moved to New York, where he graduated from Columbia University in 1983.

    Remembering the values of empathy and service that his mother taught him, Barack put law school and corporate life on hold after college and moved to Chicago in 1985, where he became a community organizer with a church-based group seeking to improve living conditions in poor neighborhoods plagued with crime and high unemployment.

    The group had some success, but Barack had come to realize that in order to truly improve the lives of people in that community and other communities, it would take not just a change at the local level, but a change in our laws and in our politics.

    He went on to earn his law degree from Harvard in 1991, where he became the first African-American president of the Harvard Law Review. Soon after, he returned to Chicago to practice as a civil rights lawyer and teach constitutional law. Finally, his advocacy work led him to run for the Illinois State Senate, where he served for eight years. In 2004, he became the third African American since Reconstruction to be elected to the U.S. Senate.

    It has been the rich and varied experiences of Barack Obama's life - growing up in different places with people who had differing ideas - that have animated his political journey. Amid the partisanship and bickering of today's public debate, he still believes in the ability to unite people around a politics of purpose - a politics that puts solving the challenges of everyday Americans ahead of partisan calculation and political gain.

    In the Illinois State Senate, this meant working with both Democrats and Republicans to help working families get ahead by creating programs like the state Earned Income Tax Credit, which in three years provided over $100 million in tax cuts to families across the state. He also pushed through an expansion of early childhood education, and after a number of inmates on death row were found innocent, Senator Obama worked with law enforcement officials to require the videotaping of interrogations and confessions in all capital cases.

    In the U.S. Senate, he has focused on tackling the challenges of a globalized, 21st century world with fresh thinking and a politics that no longer settles for the lowest common denominator. His first law was passed with Republican Tom Coburn, a measure to rebuild trust in government by allowing every American to go online and see how and where every dime of their tax dollars is spent. He has also been the lead voice in championing ethics reform that would root out Jack Abramoff-style corruption in Congress.

    As a member of the Veterans' Affairs Committee, Senator Obama has fought to help Illinois veterans get the disability pay they were promised, while working to prepare the VA for the return of the thousands of veterans who will need care after Iraq and Afghanistan. Recognizing the terrorist threat posed by weapons of mass destruction, he traveled to Russia with Republican Dick Lugar to begin a new generation of non-proliferation efforts designed to find and secure deadly weapons around the world. And knowing the threat we face to our economy and our security from America's addiction to oil, he's working to bring auto companies, unions, farmers, businesses and politicians of both parties together to promote the greater use of alternative fuels and higher fuel standards in our cars.

    Whether it's the poverty exposed by Katrina, the genocide in Darfur, or the role of faith in our politics, Barack Obama continues to speak out on the issues that will define America in the 21st century. But above all his accomplishments and experiences, he is most proud and grateful for his family. His wife, Michelle, and his two daughters, Malia, 9, and Sasha, 6, live on Chicago's South Side where they attend Trinity United Church of Christ. (source www.barackobama.com )


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  • USA Campaign 2008 - Caucus de l'Iowa du 3 janvier 2008, l'Etat qui compte dans la campagne américaine

    Ce petit état du Midwest, grand comme un quart de la France, qui compte 3 millions d'habitants est en première ligne de la présidentielle américaine depuis 1972. Pourquoi? en Iowa, les candidats à l'investiture, aussi nombreux qu'ils sont peuvent "toucher" toute la population contrairement à l'Etat de Californie ou celui du Texas qui comptent le plus d'habitants. La proximité fait le reste. C'est ainsi qu'il faut se souvenir de 1976 ou on y a célébré le triomphe d'un illustre inconnu alors gouverneur de la Géorgie: Jimmy Carter. Cette brillante performance allait lui donner l'élan nécessaire pour se rendre jusqu'à la Maison-Blanche. En conséquence ce petit État du Midwest est devenu incontournable sur le plan politique.

    Le Washington Post a rendu ses conclusions:

    Depuis janvier 2007, elles sont sans équivoques en ce qui concerne la pression de la campagne; on peut ainsi voir que les candidats aussi bien républicains que démocrates ont participé à 1784 réunions, forums ou déplacements politiques en Iowa. Tandis que ces chiffres montent seulement à 305 déplacements en Californie et 105 au Texas, les deux États pourtant les plus peuplés du pays.

    ALors le caucus du 3 janvier prochain, dans moins de 30 jours provoque la cristallisation de tous les Etats-majors des candidats. Dans le Des Moines Register journal local de la capitale de l'Iowa: Des Moines (cela ne s'invente pas c'est en français) on y apprend que les principaux leaders républicains ou démocrates sont distancés selon un un sondage local .

    Du côté républicain, on y constate que Mike Huckabee et Mitt Romney distancent avec 29 et 24% des intentions de vote leur "collègue" Rudy Giuliani qui n'emporte que 13% des voix selon ce même sondage. Giuliani a du souci à se faire à moins d'un mois du caucus.

    Du côté démocrate Hillary Clinton distancée (25%) tient la corde avec difficulté devant Barack Obama (28%) et John Edwards (23%) 

    Le caucus de l'Iowa se fait dont pesant sur les deux leaders démocrates et républicains: Clinton et Giuliani.

    A suivre donc...

    Nico

    Au fait, c'est quoi un caucus?

    Caucus : Caucus - Réunion, notamment de personnes dont l'objectif est de promouvoir un changement de politique ou d'organisation. Dans le contexte des élections présidentielles américaines, ce terme a fini par désigner le rassemblement de militants politiques locaux d'un parti pour désigner un candidat à l'investiture de ce parti dans la course à la présidence. Dans un système de caucus en plusieurs étapes, les militants locaux, qui exercent une activité à l'échelon d'un bureau de vote, choisissent des délégués qui les représenteront aux réunions organisées à l'échelon du comté ; ces réunions permettront à leur tour de désigner des délégués aux conventions de l'État. Ces conventions sélectionnent ensuite les délégués à la convention nationale du parti qui désignera le candidat officiel. L'objectif du système des caucus est d'indiquer, par le biais du choix des délégués, la préférence des membres du parti dans chaque État. Cela a pour effet de démocratiser la désignation du candidat à la présidence, puisque c'est surtout au niveau du bureau de vote que s'expriment les préférences, dès le début du processus.

     


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  • USA Campaign 2008 - Derniers sondages - les temps sont-ils durs pour le parti démocrate?

    Le dernier sondage zogby international, réalisé en ligne auprès de 9 150 électeurs a provoqué des remous dans les Etats-majors politiques aux Etats-Unis. A la lecture de ceux-ci on découvre très vite que dans tous les cas de figure proposés par Zogby, le candidat issu du parti Républicain l'emporte devant son concurrent démocrate. Ainsi Mme Clinton, leader virtuelle (pour l'instant sur sa réussite d'emporter l'investiture démocrate) perd face à tous ses concurrents Républicains. Les Etats-majors bouillonnent et le doute pourrait s'installer si on ne découvrait pas dans le même temps que l'institut Gallup donne des résultats pour le moins différents (voir ci-dessous). Gallup réputé pour ses bonnes prévisions a été passé sous silence par les internautes, rédactions de presse et blogueurs qui se sont empressés de publier Zogby. A suivre donc... Nico

    [Au fait, la prise d'otage qui se déroulait hier dans un QG de campagne d'Hillary Clinton dans le New Hampshire s'est bien terminée par la reddition du preneur d'otage - une personne qui souffrait de troubles psychiatriques et qui souhaitait parler à Mme Clinton à propos (justement) des problèmes psychiatriques ! tout est bien qui finit bien !]

     11/26/2007

    7/14/2007

    5/17/2007

    <?XML:NAMESPACE PREFIX = ST1 /><ST1:CITY w:st="on"><ST1:PLACE w:st="on">Clinton </ST1:PLACE></ST1:CITY>

    38%

    45%

    43%

    McCain

    42%

    43%

    47%

    <?XML:NAMESPACE PREFIX = O /><O:P></O:P>
    <O:P></O:P>

    11/26/2007

    7/14/2007

    5/17/2007

    <ST1:CITY w:st="on"><ST1:PLACE w:st="on">Clinton </ST1:PLACE></ST1:CITY>

    40%

    46%

    43%

    Giuliani

    43%

    41%

    48%

    <O:P></O:P>
    <O:P></O:P>

    11/26/2007

    7/14/2007

    5/17/2007

    <ST1:CITY w:st="on"><ST1:PLACE w:st="on">Clinton </ST1:PLACE></ST1:CITY>

    40%

    48%

    48%

    Romney

    43%

    38%

    40%

    <O:P></O:P>
    <O:P></O:P>

    11/26/2007

    7/14/2007

    5/17/2007

    <ST1:CITY w:st="on"><ST1:PLACE w:st="on">Clinton </ST1:PLACE></ST1:CITY>

    39%

    N/A

    N/A

    Huckabee

    44%

    N/A

    N/A

    <O:P></O:P>
    <O:P></O:P>

    11/26/2007

    7/14/2007

    5/17/2007

    <ST1:CITY w:st="on"><ST1:PLACE w:st="on">Clinton </ST1:PLACE></ST1:CITY>

    40%

    47%

    48%

    Thompson

    44%

    41%

    41%

    <O:P></O:P><O:P></O:P><O:P></O:P><O:P></O:P><O:P></O:P><O:P></O:P><O:P></O:P><O:P></O:P><O:P></O:P><O:P></O:P> Source: Zogby


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  • 'Human Bomb' Barricades Himself Inside Clinton Campaign Office in New Hampshire - Prise d'otage dans un QG de campagne d'Hillary Clinton dans le New Hampshire.

    Selon le site de la chaîne locale du New Hampshire WMUR, qui cite la police locale, un homme armé a pris en otage ce soir quatre personnes dans le QG de campagne d'Hillary Clinton situé dans la ville de Rochester. La sénatrice de New-York et candidate à l'investiture démocrate était absente des locaux. Elle se trouvait à Washington DC pour une convention démocrate, où elle a annulé son discours. Source AFP.

    On reviendra dès que possible sur le dénouement de cette affaire puisqu'elle touche directement la candidate à l'investiture démocrate dès que nous en saurons plus. Nico


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